
« Je ne l’avais pas vue… »
En 2018, c’est 91 711 personnes qui sont blessées sur leurs lieux de travail selon la CNESST. Il y a eu 251 accidents par jour cette année-là. Parmi les nombreuses victimes prenons l’exemple de Patrick qui n’avait pas vu Jean alors qu’il manipulait une pièce dans la machine d’injection de plastique. Au démarrage de la machine, Jean a reçu des blessures qui lui ont été fatales.
Dans les entreprises, nombre d’accidents ont eu lieu car un employé se trouvait dans un angle mort. Non visible par ses collègues, un employé peut être vulnérable, en particulier lorsque ce dernier manipule des machines automatisées. Cela peut mener à des écrasements, des blessures graves, et (malheureusement trop souvent) à des coups fatals.
Pourtant des solutions simples existes
Une amélioration des outils de surveillance permettrait d’éviter le pire, à la fois d’un point de vue humain et financier. Des alarmes, des détecteurs de mouvement ou des caméras jumelés à un programme de gestion vidéo représentent des solutions simples à des problèmes graves. Il aurait suffi d’un détecteur de mouvement pour sauver la vie de Jean…
Les entreprises d’aujourd’hui sont de plus en plus nombreuses à constater les bénéfices des bons outils, aux bons endroits et sous la supervision d’employés formés. En effet, ils permettent incontestablement de diminuer le nombre et la gravité des accidents de travail. Et on le sait : une entreprise qui perdure et qui performe est une entreprise qui protège et valorise ses travailleurs.
« L’Entreprise, c’est avant toute chose des Hommes, car on a déjà vu des entreprises se monter sans argent, mais on n’en a jamais vu se monter sans Hommes.» Michaël Halimi
Le 1 Mars 2019, à Montréal